Le Père Daniel Ange et la théorie du Gender (ou du genre)

 

 

 

Après plusieurs années de vie d’ermite, le père Daniel-Ange ressent l'ap­pel à transmettre aux jeunes l'essentiel : Dieu, donc la vie.

 

Ordonné prêtre en 1981, il fonde en 1984 Jeunesse-lumière, une des premières écoles catholiques d'évangélisation en Europe. Auteur de nombreux livres de théologie et d'évangélisation, il est profondé­ment engagé dans un travail de communication des Eglises sœurs catholiques et orthodoxes; il réa­lise des missions d'évangélisation dans une quarantaine de pays.

 

« Pauvres fans du gender ! Soyez logiques, allez jusqu'au bout de vos thèses. Pendant que vous y êtes, supprimez aussi les admirables dif­férences complémentaires des grandes races humaines. Naître Asiatique ou Africain noir : intolé­rable, discrimination imposée par la nature. Proposez aux petits came­rounais de devenir blancs, à la pe­tite Chinoise de devenir noire. Hormones, chirurgie faciale et ça y est. Enfin libre de choisir ma race, ma physionomie. Et si un petit an­glais veut le facies slave: no pro­blem. Tout est possible.

 

Paradoxe : vous ne supportez pas cette horrible, injuste, stupide « na­ture ». Rien n'est naturel (surtout pas l'hétérosexualité ! au mieux : l'homosexualité), rien n'est définitif, rien n'est immuable. Mais en même temps, vous êtes écolos : vous res­pectez la nature, que tout soit bio, c'est-à-dire, justement naturel. En plus, ça rapporte !

 

Mais alors, soyez logiques: suppri­mez les odieuses différences chez animaux et végétaux, qui aussi se reproduisent par bi-polarité. Où faut-il dire la coq et le poule? Quelle discrimination ! Le coq qui féconde la poule : odieuse domina­tion !

Pour échapper à votre stupide nivel­lement, je devrais être une biche. Au moins, on respecterait ma na­ture, mon espèce et mon sexe. Heu­reusement que les arbres n'ont pas de tendances sexuelles, et qu'on les classe d'après ce qu'ils sont.

Bref, l'écologie, le bio dans tous les domaines, sauf celui de l'humain. ( ... )

 

Et à qui l'enfant doit-il dire « maman» ou « papa » ? Puisqu'il n'y a plus de différence, il faut in­venter un mot bivalent : Ma-pa ? Pa-man ? N'importe quoi !

Dans les écoles, il faut bannir les mots de garçon et de fille ... « Dans ma classe, j'ai 14 bi, 8 homos, 3 hétéros et pour le mo­ment, un seul trans. » Mais demain, ça peut changer, la nuit porte conseil, n'est-ce pas ?

 

Septembre 2011 : « 2 organisations féministes lancent une campagne pour supprimer la mention « Melle » dans les formulaires, perçue comme discriminatoire, violant la vie privée. Mais avec l'obligation d'écrire ton gender, ce sera bien pire !

 

Les mots même de père/mère, en­fant, frère, sœur, époux -se, fils/fille doivent être éliminés dans toutes les langues, le plus vite possible, sans parler du mot honni entre tous de famille. Cela puisque tous rattachés à ces 2 mots détestables entre tous : homme-femme. Et donc aussi, ipso-facto, ceux d'amour, don de soi, communion, etc  ( ... )

 

Pourquoi ? Mais pourquoi donc cet acharnement à détruire la fa­mille par tous les moyens ? Veut-­on vraiment créer des sociétés saccagées par la délinquance, la violence, le crime? N'y a-t-il déjà pas assez de familles en ruines, d'enfants et d'ados désespérés parce que non aimés et dont la vio­lence est le seul cri ?

 

N'avez-vous donc pas d'enfant à vous pour que vous massacriez ceux des autres ? N'avez-vous donc jamais rêvé d'une famille unie, d'une épouse fidèle, pour bombar­der ainsi nos familles ?

 

Arrêtez ! Convertissez-vous ! Met­tez-vous à re-construire après tant de ruines. La guerre à l'humanité, déclarez-la terminée. Au moins un armistice. Que nous puissions re-pendre souffle. On n'en peut plus ! On en a marre ! On sursature ! Pitié, pitié, pitié pour ce continent jeune suffisamment mitraillé.

 

Je tremble pour vous. La mort, ça vient vite. N'importe où, n'importe quand. Peut-être demain. Personne n'échappera au jugement. Je ne veux pas que vous ayez du sang sur les mains. Je veux vous éviter un mauvais quart d'heure devant un certain Enfant.

 

Cet Enfant, cet Ado, ce Jeune qui sait ce qu'est l'enfance, l'adoles­cence et la jeunesse pour les avoir lui-même traversées. Mais qui est aussi le Maître de l'histoire, le Sei­gneur de notre humanité, prunelle de ses yeux.

 

Et qui a osé déclarer : qui touche à un enfant, c'est Moi qu'il touche ! L'Artiste génial nous a tellement créés Homme ou Femme que nous le serons en plénitude éternelle­ment. Au Ciel, Jésus demeure à tout jamais un homme, l'Homme par ex­cellence, et Marie une femme. En ce Ciel où les genders n'auront plus cours.

 

Au Donateur de vie, à la Source : jaillissante de l'amour, à lui seul, le mot de la fin, la victoire de demain. Donc, à nous dès maintenant sa victoire. Combattons en grands vainqueurs que nous sommes déjà. Sans peur, sans honte, sans reproches. En chevaliers de la vie. En acteurs de l'amour. En témoins de la beauté. En serviteurs de la Vérité.

 

Vie, amour, beauté, vérité qui se manifestent dans cette cime lumi­neuse de tout le cosmos : l'homme, la femme et l'enfant: icône vivante de la famille Trinitaire. Plus haut chef d'œuvre du cosmos parmi toutes les galaxies, prunelle des yeux de Dieu ».